"SERVIR LES ENSEIGNANTS ET NON SE SERVIR D'EUX"

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mercredi 9 décembre 2015

CONTRIBUTION

ENCORE UNE « BAVURE » DU MINISTRE DE L’EDUCATION :
 serait-on dans une REPUBLIQUE ou une RUE-PUBLIQUE ?
Piétiner les lois et défier la plus haute juridiction du pays sans état d’âme est me semble-t-il le cadet des soucis du Ministre de l’Education.
Après s’être attaqué aux enseignants de l’élémentaire en disant qu’ils ne savent même pas résoudre un problème de CM,
Après avoir défié la cour suprême en « déchirant son arrêt » suite à ce qu’il est convenu d’appeler la « FRAUDE des élèves-maitres »,                                                                                                     
Voilà que le ministre de l’éducation s’illustre encore avec sa circulaire augmentant l’effectif des classes à 80 foulant au pied les lois et décrets organisant les établissements scolaires  (ratio élève / maitre 50).
Dommage !!!  Monsieur le Ministre Serigne Mbaye Thiam ne sait même pas ce qui se passe dans nos établissements scolaires. Les effectifs de nos classes  dépassent parfois 100 (au lycée Charles de Gaulle de Saint-Louis les effectifs des classes de Seconde, Première et Terminale tournent autour de 85 à 97  et dans les écoles élémentaires de Pikine Saint-Louis on a plus de 100 élèves dans les classes ; cependant les enseignants l’ont toujours accepté volontairement sans aucune pression.
En prenant cette acte, vous nous poussez à nous radicaliser et à demander l’application des textes dans toutes sa rigueur (ratio 45 élèves par classe).
Monsieur le Ministre, vous feriez mieux de mettre les enseignants dans les meilleures conditions possibles pour qu’ils puissent vous assurer un enseignement de qualité. Ne pas le faire c’est jeter l’argent par la fenêtre. L’utilisation du budget doit se ressentir par nos enfants dans les classes et l’on doit éviter de tenir un beau discours devant une assemblée qui majoritairement n’est là que pour leur parti ou coalition de partis et non pour le peuple.
Même le DFC (Directeur de la Formation et de la Communication) du MEN est sur les pas de son mentor quand il va jusqu’à dénigrer voir réduire au néant la compétence des corps émergents (volontaires, vacataires, contractuels) alors que lui-même a été volontaire, vacataire avant d’être bombardé DFC à la faveur de la politique et du fameux scandale sur les élèves maitres (Il a remplacé à ce poste Abdoulaye Diatta ancien Directeur du Projet des volontaires). D’ailleurs cette passerelle volontaire / vacataire n’existe même pas.
A entendre les agents du ministère de l’éducation parler sur les plateaux de radio ou télévision, c’est comme s’ils n’étaient pas des enseignants, bizarrement ils ont si vite oublié leur passé.
Le Président de la République Monsieur Macky Sall ou du moins son gouvernement serait-il pris en otage par un ministre qui n’en a cure d’une justice indépendante dans un Etat de droit et du principe de la séparation des pouvoirs.
L’autoritarisme, l’abus de pouvoir seraient-ils la nouvelle règle de jeu dans la gestion des ministères ?
Le MEN travaille-t-il réellement à faire réussir ou à faire échouer son Excellence le Président de la République Macky Sall.
Pour avoir une éducation inclusive de qualité et une stabilité sociale durable dans l’espace scolaire, le Ministre de l’Education ferez mieux de veiller sur l’application du protocole d’accord signé avec les organisations syndicales, les conclusions des assises, du conseil interministériel, du conseil présidentiel et les promesses du Président de la République lorsqu’il invitait les syndicats de l’enseignement à un déjeuner.
Pour rappel, M. le Président de la république avait pris un certain nombre d’engagements dont :
1)      Le remboursement des ponctions sur les salaires du mois d’avril 2015.
2)      Le financement de la journée mondiale des enseignants par le ministère de l’éducation nationale (10 millions), et sa célébration tous les ans.
3)      Le paiement de tous les rappels (intégration, avancement, reclassement et validation des décisionnaires) dus aux enseignants au plus le 31 décembre 2015.
4)      L’alignement indiciaire de tous titulaires des actes de 2015 (avancement et reclassement) d’ici la fin de l’année.
5)      Validation des fonctionnaires : alignement indiciaire à partir de janvier 2016 (5 milliards), part de l’état pour le FNR en 2016 et paiement du tiers des rappels de validation en 2017 et 2018.
6)      Logement : partage du rapport sur le système de rémunération les 27 et 28 octobre 2015, facilitation de l’acquisition de logement sous forme de villa ou d’appartement dans les pôles urbains pour les nouveaux enseignants, finalisation des problèmes des ZAC (viabilisation et baux).
7)      La tenue des élections de représentativité dans le secteur de l’éducation et la formation avant la fin de l’année scolaire 2015-2016.
Ces différents engagements ont été pris devant les SG de syndicats d’enseignants, les présidents des associations de parents d’élèves, la présidente du Haut conseil du dialogue social, le président du Comité du dialogue social – secteur éducation et formation, les représentants des ONG actives en éducation, les médiateurs, le Premier ministre et les membres du gouvernement.
Quels sont les points qui ont fait l’objet de matérialisation depuis cette rencontre, jugez-en vous-mêmes.
MERCI DE PARTAGER
                                                                                                 Cheikh Tidiane HANNE
                                                               Secrétaire Général du SELS Originel Section Saint-Louis



dimanche 6 décembre 2015

QUAND UN MINISTRE DE LA REPUBLIQUE VA JUSQU'A REMETTRE EN CAUSE UNE DECISION DE JUSTICE

IL ME SEMBLE QUE CES DEPUTES NE COMPRENNENT RIEN DE CE QUI SE PASSE QUAND ILS VONT JUSQU'A RENFORCER LE MEN DANS SA POSITION SUITE AU VERDICT DE LA COUR SUPREME EN FAVEUR DES ELEVES-MAITRES dans ce qu'il est convenu d'appeler l'affaire de 690 fraudeurs lors du concours de recrutement des élèves-maîtres (CREM). 
CELA ME FAIT PEUR, QUAND UN MINISTRE DE LA REPUBLIQUE VA JUSQU'A REMETTRE EN CAUSE UNE DECISION DE JUSTICE.
CHERS INTELLECTUELS EPRIS DE JUSTICE :
tout dernièrement le Ministre de l'Education étalait dans les colonnes du journal l'Observateur les failles qui ont été à l'origine de la fraude lors du concours des élèves-maîtres. Dans tout le document il n'a été nullement mentionné la responsabilité d'un élève-maître dans cette fraude. Cette fraude si elle existe, a été l'oeuvre des membres de la commission, qui pourtant ont été pratiquement récompensés (l'un d'eux a été bombardé intendant). 
Monsieur Le Ministre, où en êtes vous avec la plainte que vous aviez déposée? Elle est restée sans suite? La cour suprême n'a-t-elle pas tranché en faveur de ces jeunes sénégalais.
Je suis loin d'encourager la fraude sous toutes ses formes ( comprenez le ndjouplang) mais aucun élèves-maître n'a été pris entrain de tricher. 
S'il y avait véritablement fraude incriminant 690 jeunes (un nombre important) et comme le dit le document (il y'a possibilité de fraude dans tout le processus : du dépôt des dossiers avec la fiabilité des diplôme jusqu'à la publication des résultats) pourquoi ne pas annuler le concours et reconstituer un jury exceptionnel pour la réorganisation du CREM. 
Messieurs les députés,
Monsieur le Ministre de l'Education,
combien de sénégalais ont été victimes d'une erreur de justice? Et pourtant ils l'ont accepté avec beaucoup de philosophie.
AYONS DE LA HAUTEUR ET ACCEPTONS LE VERDICT DE LA COUR SUPREME MEME S'IL Y'A ERREUR :
SOYONS REPUBLICAINS. Cela ne ferait que renforcer nos institutions et promouvoir davantage la séparation des pouvoirs

Système éducatif : La Cosydep appelle à l’application des dernières instructions présidentielles

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Système éducatif : La Cosydep appelle à l’application des dernières instructions présidentielles

La Coalition pour une synergie des acteurs pour la défense de l école publique (Cosydep), dans une déclaration rendue publique hier, appelle à des politiques éducatives responsables et à l’application des dernières instructions présidentielles en vue d’éviter toute perturbation dans le système éducatif.

Face aux menaces de grève brandies par certains syndicats d’enseignants et dans « un contexte lourd de menace », la Coalition pour une synergie des acteurs pour la défense de l’école publique (Cosydep) tire la sonnette d’alarme. Dans une déclaration rendue publique, hier, à la suite de la session ordinaire de son Conseil d’administration, elle invite à « des politiques éducatives responsables et l’application des dernières instructions présidentielles » pour dissiper les nuages persistants qui planent sur le système éducatif. Regrettant le fait que « l’apaisement et la stabilité du moment soient d’une inquiétante précarité au regard des menaces de grèves des syndicats d’enseignants », la Cosydep estime que le Sénégal doit avoir l’ambition de construire un leadership à la mesure des efforts consentis dans le secteur de l’éducation par toutes les familles d’acteurs. « A la vérité, la communauté éducative a soif de « goûter aux saveurs » d’une année scolaire apaisée par un dialogue social efficace, duquel les engagements pris sont respectés.
Pour la Cosydep, la seule alternative réside dans l’application des dernières instructions présidentielles issues des rencontres avec le président de la République ainsi que la mise en place d’un dispositif inclusif de suivi des recommandations issues des Assises nationales de l’éducation et de la formation », lit-on dans le document. En outre, la Cosydep réaffirme sa constante préoccupation quant à la persistance de nombreux facteurs de contre-performances comme les abris provisoires, l’absence de pièce d’état civil pour beaucoup d’apprenants mais aussi les situations d’urgence dues aux inondations et à la violence. De ce point de vue, elle rappelle que le système éducatif sénégalais a encore des défis à relever. Néanmoins, la Cosydep pense que l’optimisme doit être entretenu car, à l’occasion de sa 3ème Assemblée générale ordinaire prévue en fin décembre 2015, elle compte adopter « des stratégies d’actions pertinentes pour la société civile, en lien avec le devenir de l’humanité face à la dégradation du cadre de vie, à la pauvreté, à la misère, aux injustices, aux conflits et aux comportements de désespoir ».
La situation, sur le plan international, notamment sur la question du terrorisme, a été également abordée au cours de cette session ordinaire du Conseil d’administration de la Cosydep. Et c’est  pour dire que la lutte contre les actes terroristes exige une bonne prise en charge de l’éducation des citoyens dans toutes ses dimensions. Il s’agit, selon elle, de faire de l’éducation un « levier principal qui combine une formation adaptée à la culture de la paix, à l’éducation morale, à la citoyenneté mondiale, à l’intercompréhension culturelle, à la reconnaissance et au respect de l’autre ».
Aussi, à l’occasion de la réunion que le « Partenariat mondial pour l’éducation » (Pme) qui se tiendra, pour la première fois, les 9 et 10 décembre au Sénégal, la Cosydep rappelle que la société civile aura à réaffirmer l’urgence de positionner l éducation comme base et socle commun du vivre ensemble. 
Elhadji Ibrahima THIAM

samedi 5 décembre 2015

DECLARATION DE LA COSYDEP

Un contexte lourd de menaces : Pour des politiques éducatives responsables et l’application des dernières instructions présidentielles
Au plan international, la fréquence et l’ampleur des actes terroristes interpellent les décideurs et citoyens sur l’exigence d’agir résolument pour une bonne prise en charge de l’éducation des citoyens dans toutes ses dimensions. C’est dès le bas âge et dans toutes les situations d’éducation formelle ou non formelle qu’il faut installer la conscience de l’interdépendance indépassable, des valeurs du vivre ensemble, du respect de la différence, etc. En cela, les perspectives données par le nouvel Agenda du développement durable présentent de multiples opportunités. Parmi celles-ci, l’ambition d’aller vers « une éducation inclusive et équitable de qualité et un apprentissage tout au long de la vie pour tous ».
Dans ce cadre, il s’agit de faire de l’éducation un levier principal qui combine une formation adaptée à la culture de la paix, à l’éducation morale, à la citoyenneté mondiale, à l’intercompréhension culturelle, à la reconnaissance et au respect de l’autre. Dans un tel contexte, la société civile en général a un rôle incontournable à jouer pour que les citoyens s’approprient les enjeux actuels de développement et que les décideurs fassent de l’éducation une sur priorité.
Aussi, à l’occasion de la réunion que le « Partenariat Mondial pour l’Education » (PME) tiendra pour la première fois, les 9 et 10 décembre au Sénégal, la société civile aura à réaffirmer l’urgence de positionner l'éducation comme base et socle commun du vivre ensemble. L’éducation à la citoyenneté, prenant en compte droits, devoirs et responsabilités, doit faire l’objet d’une attention particulière dans nos pays africains, notamment ceux en situation de conflit ou post-conflit.
Pour sa part, le Sénégal doit avoir l’ambition de construire un leadership à la mesure des efforts consentis dans le secteur de l’éducation par toutes les familles d’acteurs. Cependant, il ressort que l’apaisement et la stabilité du moment sont d’une inquiétante précarité, au regard des menaces de grèves des syndicats d’enseignants. A la vérité, la communauté éducative a soif de « gouter aux saveurs » d’une année scolaire apaisée par un dialogue social efficace, duquel les engagements pris sont respectés. Pour la COSYDEP, la seule alternative réside dans l’application des dernières instructions présidentielles issues des rencontres avec M. le Président de la République ainsi que la mise en place d’un dispositif inclusif de suivi des recommandations issues des Assises Nationales de l’Education et de la Formation.
En outre, la coalition réaffirme sa constante préoccupation quant à la persistance de nombreux facteurs de contre-performances comme les abris provisoires, l’absence de pièce d’état civil pour beaucoup d’apprenants mais aussi les situations d’urgence dues aux inondations et à la violence.
C’est dire que le système éducatif sénégalais a encore des défis à relever. Mais l’optimisme doit être entretenu. A l’occasion de sa 3ème Assemblée générale ordinaire prévue en fin décembre 2015, la COSYDEP compte adopter des stratégies d’actions pertinentes pour la société civile, en lien avec le devenir de l’humanité face à la dégradation du cadre de vie, à la pauvreté, à la misère, aux injustices, aux conflits et aux comportements de désespoir.
Enfin, le Conseil d'Administration appelle tous les acteurs et partenaires de l’éducation à renforcer leur mobilisation pour une alliance nationale en faveur de l’avènement d’une école de la réussite et de l’émergence progressive de sociétés solidaires, inclusives et tolérantes.

vendredi 20 novembre 2015

Pour de bons résultats scolaires, ne mettez pas trop la pression sur les enfants

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Pour de bons résultats scolaires, ne mettez pas trop la pression sur les enfants

Les parents doivent adapter leurs attentes aux capacités de leurs enfants pour ne pas les décourager.
Les parents doivent suivre et encourager leurs enfants pour qu'ils aient de bons résultats scolaires, selon les conclusions d'une étude publiée dans la revue Journal of Personality and Social Psychology, mais ils ne doivent en aucun cas mettre la barre trop haut. Pour ne pas les décourager et provoquer l'effet contraire, à savoir des mauvais résultats.

Les chercheurs de l'University of Reading's School of Psychology (Grande-Bretagne) ont analysé les données issues d'une étude longitudinale menée entre 2002 et 2007 sur 3530 collégiens allemands âgés de 11 à 16 ans et leurs parents. Ils ont évalué tous les ans le rapport entre les résultats scolaires en mathématiques et l'ambition que projetait les parents sur leurs enfants et leur attente (la note qu'ils pensent que leur enfant est capable d'avoir).

Atteindre des objectifs réels
Les chercheurs ont observé qu'il existait un lien entre l'exigence et l'attente des parents avec les résultats scolaires.

Les enfants qui obtiennent les meilleures notes sont ceux dont les parents sont exigeants mais avec un niveau de réussite réel donc atteignable. Et, les parents qui attendent de leurs enfants des notes trop élevées nuisent à leur performance.

Pour valider ces premières analyses, les scientifiques ont reproduit la même expérience avec 12 000 enfants et parents américains et ont obtenu les mêmes résultats.

"Nos travaux mettent en évidence des aspects à la fois positifs et négatifs des aspirations des parents pour les résultats scolaires de leurs enfants", explique Ku Murayama, l'auteur principal de cette étude. "Si l'aspiration parentale peut aider les enfants à améliorer leurs résultats à l'école, des attentes excessives peuvent s'avérer nocives."

"De fortes aspirations à un niveau irréel risquent d'entraver les performances scolaires. Le fait de simplement élever le niveau d'attente ne peut pas constituer une solution efficace pour améliorer la réussite scolaire au sein de l'éducation" conclut Ku Murayama. Les chercheurs vont mener d'autres études pour comprendre les origines et le mécanisme de ce lien.
Auteur: Agathe Mayer - TopSante

jeudi 19 novembre 2015

Non respect des engagements du gouvernement: le grand cadre dépose un préavis de grève

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Mamadou Lamine Diante (Grand cadre)

Le Grand cadre attend du gouvernement qu’il respecte les engagements pris et n’entend pas rester les bras croisés. Dans ce sens, la tendance, avec à sa tête Mamadou Lamine Dianté, a annoncé le dépôt d’un préavis de grève pour janvier prochain, après le renouvellement de son bureau national de coordination. « Dès le lendemain de la plénière du renouvellement qui se tiendra au début du mois de janvier 2016, le bureau aura comme premier mandat de déposer un préavis de grève pour parer à toute éventualité », a ainsi déclaré Mamadou Lamine Dianté. Et le syndicaliste de conclure « Au regard de tout ce qui se passe sous nos yeux, nous considérons qu’il serait très imprudent de notre part de ne pas déposer un préavis de grève ».

mercredi 18 novembre 2015

Le Pm suspend le concours des élèves inspecteurs à cause d’un « manque d’argent »

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Mouhamed Boun Abdallah Dionne, premier ministre du Senegal

Le processus de recrutement de 43 inspecteurs de l’Enseignement moyen et secondaire est renvoyé aux calendes grecques à cause d’une mésentente entre le ministère de l’Éducation nationale et la Fastef qui devrait assurer la formation. C’est le journal Le Quotidien qui donne l’information.
Le journal, dans son édition de ce mercredi 18 novembre 2015, révèle que la suspension du processus de recrutement est intervenue alors qu’il ne restait que la sélection définitive, sur ordre du chef du Premier ministre. Laquelle était prévue les 11 et 12 novembre dernier, après que les présélections ont été effectuées au niveau des inspections d’académie du Sénégal.
Mohammad Boun Abdallah Dionne, le Premier ministre, a mis un terme au processus, après une réunion houleuse qui s’est tenue à la Fastef entre les représentants du ministère de l’Éducation et des formateurs.
« Les formateurs de la Fastef ont dit qu’ils n’étaient pas impliqués. La formation n’était pas inscrite dans le budget du ministère parce qu’il fallait prendre en charge les formateurs qui sont pour la plupart des inspecteurs généraux de l’Éducation nationale », informent des sources anonymes citées par Enquête.
Ce que confirme Mohamed Diagne, le directeur de la Formation et de la Communication du ministère de l’Éducation nationale.
« C’est vrai, le Premier ministre a demandé d’arrêter la sélection jusqu’à nouvel ordre. Cela est lié au fait qu’une ligne budgétaire pour la formation de ces futurs inspecteurs n’a pas été élaborée », a-t-il dit audit quotidien qui l’avait joint par téléphone.
La tutelle, pour sa part, n’a pas été informée de cette décision informe également Enquête.

lundi 16 novembre 2015

FEUILLE DE ROUTE DU MOUVEMENT NATIONAL DE 2016


ACTIVITES
DUREE 2016
PERIODE 2016
ACTEURS
1.       
Déclaration des postes susceptibles d’être vacants
4 mois
Du mardi 2 novembre 2015 au Lundi 29 février 2016 à 23h 59 mn
-  Enseignants candidats
-  Consultant Mirador
-  CIME
2.       
Saisie des postes vacants
20 jours
Du mercredi 10 au lundi 29 février 2016
-  Responsables des BRH des IA et des IEF
3.       
Échanges, corrections, vérifications et réajustements des données saisies (pré –miroirs à partager avec les syndicats)
30 jours
Du mardi 1er au mercredi 30 mars 2016
-  Techniciens des DRH / MEN et MFPAA
-  Responsables des BRH des IA et des IEF
-  Consultant Mirador
-  CIME
4.       
Tenue de la commission nationale de mise en position de stage
02 jours
Du jeudi 31 au vendredi 1er avril 2016
-  DGPEC
-  Bureau de la Formation
-  Syndicats d’enseignants
5.       
Signature des OS de mise en position de stage
01 jour
mardi 5 avril 2016
MEN
6.       
Désactivation des déclarations  de postes des agents mis en position de stage et ouverture éventuelle de leurs postes vacants
2 jours
Du mardi 5 au mercredi 6 avril 2016
-  Techniciens de la DRH 
-  Consultant Mirador
-  CIME
7.       
Tenue de l’atelier sur l’intégration des nouveaux critères dans le guide du mouvement national
3 jours
Du mardi 5 au jeudi 7 avril 2016
-  Techniciens des DRH / MEN et MFPAA
-  Consultant Mirador
-  Responsables BRH IA et des IEF
-  Syndicats d’enseignants locaux
8.       
Publication des miroirs du mouvement national
2 jours
Du jeudi 7 au vendredi 8 avril 2016

-  Techniciens des DRH / MEN et MFPAA
-  BRH des IA et des IEF
-  Consultant Mirador
-  Syndicats d’enseignants
9.       
Ouverture des candidatures en ligne et dépôt des dossiers physiques
30 jours

Du lundi 11 avril au mardi 10 mai 2016
-  Enseignants candidats
-  Responsables BRH IA et des IEF
-  Syndicats d’enseignants locaux
10.   
Réservation du local pour la tenue des assises
-  Gestionnaire / Finances / DRH
-  DGPEC
-  Chef du Bureau mobilité
11.   
Fin de dépôt des candidatures physiques
mardi 10 mai 2016 à 17 h
-  Enseignants candidats
-  Responsables des BRH IA et des IEF
-  Syndicats d’enseignants locaux
12.   
Tenue des ateliers de validation et de clôture des candidatures au niveau des IA
6 jours
Du lundi 16 au samedi 21 mai 2016
-  IA
-  Responsables des BRH des IA et des IEF
-  Syndicats d’enseignants locaux
13.   
Semaine de vérification, de contrôle qualité des dossiers et de préparation au voyage
6 jours
Du lundi 23 au samedi 28 mai 2016
-  Techniciens des DRH / MEN et MFPAA
-  BRH des IA et des IEF
-  Consultant Mirador
-  CIME
-  Syndicats d’enseignants
14.   
Commission nationale de mutation des personnels
07 jours
Du lundi 30 mai  au dimanche 5 juin 2016

-  Techniciens des DRH / MEN et MFPAA
-  BRH des IA et des IEF
-  Consultant Mirador
-  CIME
-  Syndicats
15.   
Édition des décisions de mutation sur place par l’équipe technique (imprimantes couleur et photocopieuse)
02 jours
Du lundi 6 au mardi 7 juin 2016
-  DGPEC
-  Agents Bureau mobilité
-  Gestionnaire / Matières / DRH
16.   
Signature des décisions de mutation du mouvement national
01 jour

Mercredi 8 juin 2016

MEN
17.   
Publication des décisions de mutation : 
(Scanner, copier et envoyer les OS aux IA ; Envoyer des mails aux enseignants)
-  DGPEC
-  Agents Bureau mobilité
-  Agents Bureau Statistiques
18.   
Dépôt des dossiers de recours par les enseignants concernés
15 jours
Du jeudi 9 au jeudi 23 juin 2016 à 17h
-  Enseignants concernés
-  Responsables des BRH des IA et des IEF
-  Syndicats d’enseignants locaux
19.   
Permutations
25 jours
Jeudi 9 juin  au Lundi 4 juillet 2016 à 17 h
-  Enseignants concernés
-  Responsables des BRH des IA et des IEF
-  DAJLD
-  Bureau Mobilité
20.   
Traitement et transmission des dossiers au MEN (ne transmettre que ceux recevables et relevant du ressort du niveau central)
05 jours
Du lundi 27 juin au vendredi 1er juillet 2016
-  Responsables des BRH des IA et des IEF
-  DAJLD
-  Bureau mobilité
21.   
Contrôle qualité du paramétrage
2 jours
Du vendredi 1er au samedi 2 juillet 2016
-  Consultant Mirador
-  CIME

22.   
Commission nationale d’examen des recours
02 jours
Du lundi 4 au mardi 5 juillet 2016
-  Syndicats d'enseignants
-  Équipe technique de Mirador
-  Représentants des BRH des IA
23.   
Edition des décisions de mutation issues des recours
01 jour

Mercredi 6 juillet 2015
-  DGPEC
-  Agents Bureau mobilité
24.   
Signature des décisions de mutation issues des recours
MEN
25.   
-          Publication des décisions de mutation issues des recours : (Scanner, copier et envoyer les OS aux IA ; Envoyer des mails aux enseignants)

-          Publications des permutations
-  DGPEC
-  Agents Bureau mobilité
-  Agents Bureau Statistiques
26.   
Publication des miroirs et enregistrement des candidatures aux mouvements académiques
07 jours
 Du jeudi 7 au mercredi 13 juillet 2016 à midi
-  Techniciens des DRH / MEN et MFPAA
-  BRH des IA et des IEF
-  Consultant Mirador
-  CIME
-  Enseignants
27.   
Fin de dépôt des candidatures physiques

Mercredi 13 juillet 2016  à 17h
-  BRH des IA et des IEF
-  Enseignants concernés
28.   
Exploitation, vérification des justificatifs puis clôture/rejet des dossiers
03 jours
Du jeudi 14 au samedi 16 juillet 2016 
-  BRH des IA et des IEF
-  Syndicats
29.   
Délibération pour les postes de responsabilité et d’adjoints académiques
03 jours
Lundi 18 au mercredi 20  juillet 2016
30.   
Signature des décisions de mutation issues des mouvements académiques
01 jour
Jeudi 21 juillet 2016

Inspecteurs d’Académie (IA)
31.   
Publication des décisions de mutations issues des mouvements académiques : (Scanner, copier et envoyer les OS aux IA ; Envoyer des mails aux enseignants)
-  DGPEC
-  Agents Bureau mobilité
-  Agents Bureau Statistiques
-  BRH des IA et IEF copient et en remettent aux intéressés
32.   
Évaluation des mouvements académiques 2016
01 jour
Vendredi 22 juillet 2016
-  BRH des IA et IEF
-  Syndicats
33.   
Tenue de la commission sur les retours de stage (activité tributaire de publication des résultats de la FASTEF)
04 jours
Du lundi 25 au jeudi 28 juillet 2016
-  Bureau Formation
-  Techniciens de Mirador
-  Techniciens de la CIME
-  BRH des IA et IEF
-  Syndicats
34.   
Évaluation du mouvement  national  2016
02 jours
Du lundi 1er au mardi 2 août 2016
-  Techniciens de Mirador
-  Techniciens de la CIME
-  Représentants BRH IA/IEF/  (Diourbel, Matam, Thiès, et région de Dakar)
-  Syndicats
-  Personnes ressources

NB : LA COULEUR VERTE INDIQUE LES PARTIES QUI CONCERNENT DIRECTEMENT LES ENSEIGNANTS.
          VEUILLEZ  EN FAIRE UNE LARGE DIFFUSION ET SURTOUT POUR LES DECLARATIONS DES POSTES EN LIGNE